samedi 20 avril 2013
Plus rien ne compte, plus rien n'existe, ma bite palpite dans mon jeans, mon nœud luisant dans la lumière des yeux qui m'observent...je me sens fort quand je suis dur, glissant ma main dans la toile de mon boxer...branlant doucement cette amie qui me contrôle de l'intérieur. Ma queue désire, ma queue réclame. Je veux ouvrir mon cul sur ta tige, je veux ouvrir ma bouche sur vous tous, je réclame mon jus, je réclame du sexe fort, de grosses bites épaisses, lourdes, laissons la douceur pour plus tard, ne gardons que l'urgence, le bestial...ses yeux qui se ferment au rythme de mes coups de reins. Petit perle luisante sur ma langue gourmande, je veux tester les odeurs, les effluves, qui s'échappent dans ses pantalons, dans ses toiles de cotons...
Voila la fièvre, la fièvre qui ne se soigne que dans le rapport viril, peau contre peau, pine contre pine, sueur mélangé...
Crache ta semence mon ami, libère ce sperme sur la partie de mon corps que tu désire...enfile mon trou et donne moi ce plaisir de crier ton plaisir, crache sur ma teub tremblante de désir, passe ta langue sur mes couilles, sur mon cul, mes oreilles...embrasse moi avec fougue, plus rien ne compte que cette odeur qui me rend fou, l'odeur de l'amour libérateur......
Oui, viens...
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
non mais il va se calmer l'anonyme grincheux?
RépondreSupprimerPedro