vendredi 13 novembre 2015

Mes inconnus


Ils sont terriblement beaux, terriblement attirants ses inconnus de nos fantasmes. Images glanées sur internet, exhibition d'hommes virtuels. Ils ne semblent pas réels...trop parfaits, trop photogéniques. Des queues épaisses parfaites, des torses puissants et accueillants, de petits culs bombés. 
Pourquoi sont-ils la ? des acteurs de porno gay en mal d'argent, des mannequins aux rêves éteints ? Vous nous faites rêver mais jamais nous vous croisons. Nous, nous avons des défauts, un peu de ventre, des physiques quelconques, mais sous sommes réels. 
Mais vous ? existez-vous vraiment quelque part ?






 












lundi 9 novembre 2015

Protubérance

Que cache tu ?
J'imagine... mon regard s'envole au rythme de ta démarche. A chaque mouvement elle se devine, elle se dessine...gauche ou droite, à l'étroit, lovée dans la douceur d'un coton, tranquille, reposée.
Et quelques fois plus hardie, plus franche...un beau trait dessiné, une belle protubérance.
J'imagine oui...j'imagine. Cette odeur douce et entêtante prise dans le tissu, petite perle de mouille délicate. Oui j'imagine....un boxer noir ou un slip trop grand. Ah la, j'ai l'impression que tu porte un caleçon, ou toi dans le bus, tu ne porte rien, cela se devine très bien...trop bien.
Et toi le sportif qui semble toujours bien membré...ton jogging m'affole, ton short me donne le tournis, ce fin tissu synthétique...tu m'en montre 10 fois plus que si tu était nu, et tu m'excite 100 fois plus aussi...
J'aimerai tellement glisser mon visage entre tes cuisses, poser mes yeux sur ta colline, humer ta virilité et redessiner avec ma bouche les contours de ta queue emprisonnée.
Oui j'imagine...quelques boutons, une fermeture...et toujours cette douce odeur qui m’enivre, me fait perdre pied...
J'aime le pouvoir de l'imagination

lundi 2 novembre 2015

D'abord un non...

Je suis très peu "passif" dans mes rapports. Cela m'arrive rarement. Je suis plutôt actif, j'aime prendre la main, prendre la tête des opérations.
Dimanche, j'ai "rencontré" X. J'ai déjà eu l'occasion de le croiser, mais dans ma peau de l'hétéro, et lui également. Des soirées entre potes, un ami d'ami, bonjour bonsoir, quelques phrases échangées, sympa mais sans aller plus loin.
Dimanche je le croise au cinéma, on discute dans la file, on rentre dans la salle pour le même film "le dernier woody allen...pas terrible). Bon feeling, sans moment de flottement, sans gêne. On parle de tout de rien.
Après le film, "X" me propose de boire une bière. Moment agréable, et lentement je sens "quelque chose", une alarme se déclenche dans ma tête...
Et si...? si il était comme moi, un hétéro d'apparence, un homo en privé ? J'ai vraiment l'impression qu'il y a des sous étendus, des regards appuyés, insistants. Je lance quelques perches, j'aguiche un peu, mais pas dans le lourd, plutôt dans le discret...
La discussion dérive sur le célibat, sur les rencontres...je constate rapidement qu'il se caresse le paquet de temps en temps...en souriant.
il commence à faire nuit, je lui propose tout simplement de venir chez moi pour visiter mon appart. "Avec plaisir" me répond-t-il en souriant.
Une fois chez moi, moment de gêne pendant quelques minutes. Qui fera le premier pas ? Qui se dévoilera le premier, avec le risque d'avoir tout imaginé ?.
Je lui pose tout simplement la question "Tu sais pourquoi je t'ai demander de monter ?".
Il me répond avec une franchise déconcertante "pour baiser ?".
Éclat de rire commun qui libère nos mains et nos geste. Bien dessiné , X" est vraiment un beau mec de 40 ans tout juste, viril juste comme il faut.
Sa queue est très impressionnante ! un diamètre très large, un beau nœud circoncis et de très belles couilles rasées. la température monte vite, très vite. de chaud, je passe à bouillant, et de bouillant je monte vers "ébullition". X est un actif, et très vite je comprend qu'il  aimerait me prendre. D'abord je dis non, pas possible ! Cela m'arrive de temps en temps mais la, cela me fait peur.
Mais X insiste. Il me travaille délicatement, tente quelques approches. Il se débrouille vraiment bien, alliant douceur et virilité.
...
...Alors j'accepte, je me cambre, je m'offre, je m'ouvre. Il enfile une capote, et délicatement il me pénètre. la douleur est assez forte, j'hésite...mais il insiste toujours.
Il est puissant, il rentre en moi complétement, puis se retire. il entame doucement son va et viens, et lentement, le plaisir remplace la douleur. Je serre le dents au début, puis j'ouvre la bouche et ferme le yeux. C'est bon, c'est très bon.
X et vraiment un bon amant.
Il a très vite la jouissance qui arrive mais je l’arrête dans son élan. je veux qu'il jouisse sur mon torse.
Il se retire lentement, jette au sol le préservatif, et j'ai à peine le temps de me retourner qu'il crache sur moi une belle giclée abondante.
Je ne m'était même pas aperçu que de mon coté, j'avais déjà joui pendant qu'il me prenait !
Aujourd'hui j'ai encore mal...mais ce qu'il en reste, c'est le plaisir !

lundi 21 septembre 2015

La vague






Elle ne prévient pas, ne s'annonce pas, elle déferle sur moi en quelques instant, me fait chavirer sans jamais couler...je deviens dur et brûlant, le goût puissant de sexe sur mes lèvres, mon pouls s’accélère,   des images défilent, des situations, des hommes, des queues...
alors je déboutonne, je dézippe, je glisse...et je m'accroche, je ferme les yeux sur ses inconnus, ou sur toi que je connais si bien et en même temps que je n'ai jamais connu. Je t'imagine... je nous imagine, sur le même bateau, dans le même état...
oui, c'est certainement pour toi que cette vague m'emporte

mardi 8 septembre 2015

seul à deux

j'aime cette pratique qui d'habitude est solitaire...être deux et prendre dans la main le sexe de son compagnon, lui offrir l'intime d'une masturbation, lui offrir son plaisir rien que pour lui.
Je ferme les yeux, je le laisse faire...j'écarte doucement les jambes, je suis complétement abandonné, même vulnérable, totalement à sa merci.
Il ne fait que ça...il m'observe en souriant, descend sa main sur mes couilles, quelques fois il m'embrasse le torse...mordille mes tétons, caresse mon ventre...
J'aime jouir de cette façon, entre ses doigts...les muscles de mon ventre se contractants...il m'arrive d'avoir des spasmes dans les jambes. Cette jouissance est puissante et totalement libératrice.
Oui j'aime...

dimanche 9 août 2015

Un peu de cusiosité...

Toi l'hétéro, as tu jamais eu cette curiosité...vraiment ?
Les regards furtifs sur ton copain dans les vestiaires ? Sur sa virilité assez impressionnante...
Le torse magnifique d'un sportif...
Te souviens tu des branlettes entre potes ? De ses attouchements de paquets bien virils...des érections comparées au petit matin...voir de masturbation réciproques ?
Vraiment aucune curiosités ? ne t'es tu jamais demandé si un homme suce mieux ? les "ça fait quoi..." demandés à ton pote gay...
Allez, je pense que si tu cherche bien, tu peux avouer que de "jamais de ma vie" tu pourrai passer à un "peut-être un jour..."

jeudi 16 juillet 2015

50mn

Dans 50mn j'ai un "rendez-vous"...Plusieurs fois que nous échangeons sans jamais pouvoir se rencontrer, emploi du temps compliqué, pas disponible...
Et puis la, ça concorde.
Un beau torse assez velu, blond, cheveux court, un bel équipement, de bonnes idées, pas de prise de tête...un moment agréable entre adultes consentants.
Dans 45mn, j'ai rencart...j’attends pour prendre ma douche, mes couilles sont épilées, malgré la chaleur j'enfilerai un jean avec rien dessous...
Dans 43 mn j'ai un plan...je serai peut-être déçu, ou lui le sera...cela ne mènera peut-être à rien du tout, pas de feeling, pose de lapin...
Mais peut importe car j'aime ce moment, les 50mn juste avant, ou on se fait le film de la rencontre, ou on passe en revue son corps, ses fringues...
Alors qu'importe la suite car si tout va bien...
...Dans 41mn, je vais prendre un homme.

(Moment très intense, très chaud...un corps à corps viril sur le sol...un corps agréable...un belle soirée)

mercredi 15 juillet 2015

Ne rien laisser




...Ne rien laisser, sentir cette délivrance, cette jouissance qui s'exprime dans un jet, ce corps caverneux qui crache sa liberté...
Ne rien laisser, ou quelques trainées sur mon visage, ne rien laisser...reprendre mon amant dans ma bouche, sa queue plus souple, plus molle...
Ne rien laisser, mon regard planant vers le sien, je me délecte de cette douceur particulière...
Ne rien laisser, passant ma langue sur sa toison, sur son noeud luisant...
Ne rien laisser...juste l'envie de recommencer

Retour de Vacances



Un long week-end sur les plages Espagnol, 4 jours entre plage et piscine, 4 jours en maillot, quasi nu, a observer la faune de touristes et de temps en temps...oh miracle, un bel espagnol, viril, souriant, bronzé...
Mais 4 jours chaste car accompagné d'amis, 4 jours a saliver...
Alors de retour chez moi...la faim est la !

mercredi 1 juillet 2015

Les mots pour le dire

Cette semaine, j'ai dit à  deux personnes qui me sont proches, mon neveu et un ami, que j’étais attiré par les hommes....
J'ai eu un sentiment de liberté total, une libération. je pense avoir passé l'âge de faire mon "coming out", j'ai été marié, je suis père, mais il était important pour moi que je suis totalement honnête au moins une fois.
Mon meilleur ami a été un peu sonné je pense, mais après en avoir discuté le lendemain, je pense que pour lui rien ne changera.
Mon neveu, hyper cool, très à l'aise, sans soucis !
Voila, je ne post pas souvent de message personnel mais une fois n'est pas coutume !
...et puis qui regarde encore ce blog !

vendredi 26 juin 2015

La forêt qui cache l'arbre

Parcourir ta toison, humant doucement les saveurs de ton corps, main glissante sur ta peau, bouche ouverte, cœur palpitant, veine gonflée, regard fermé...je me sens frémir, désir, envie, luxure...
Je me glisse entre tes fesses, merveilleux cul bombé, mon petit bonheur.
J'aime tes fruits bien ronds, tes belles couilles poilues et douces, lentement sous ma langue je (re)découvre leurs saveurs. Tes cuisses putain, tes cuisses musclées, tes cuisses puissantes...je m'y accroche comme sur une bouée...peur de me noyer en toi, de ne pas me relever...
Toute ta virilité dans 20cm de chair, une bite d'homme fier, une bite vaillante, une bite sublime que je me lasse pas d’accueillir. Ton ventre plat recouvert de cette brune fourrure. Je voudrais y poser ma tête pour dormir, mais je laisse gicler une trainée de foutre chaud avant de passer ma langue...nos saveurs unis, ta sueur, mon foutre...
baise moi encore

samedi 30 mai 2015

Perdre pied

C'est arrivé un dimanche après midi pluvieux. Le temps idéal pour un après midi sauna. Beaucoup de monde, les hommes en quête de sexe rapide, des hommes mariés, des jeunes, des vieux. Toutes ses faunes d'hommes solitaires, les habitués du dimanche.
Au détour d'un couloir, je me suis retrouvé sur une couchette, fatigué, mon corps épuisé, mon moral au plus bas, ma serviette blanche sur la taille et ma queue criant famine. Dans cet état de renoncement, j’étais à peine conscient des regards sur moi, des vues, des envies.... une main a lentement glissée sur mon mollet, écartant mes cuisses sur mon cul. J'ai senti des frôlements, sur le sol, des respirations...
Docilement j'ai ouvert mes jambes un peu plus, ma bite contre le sol devenant dure, je me suis mis sur le dos.
Il était 4 ou 5, debout devant moi, tirant sur leurs queues, se roulant des pelles, se caressant, me caressant...
J'ai senti ma serviette partir, libérant mon sexe.
Le temps d'un bref instant, j’étais leur chose. Une bouche a pris mon nœud, une main mes tétons, une queue énorme s'est présenté devant moi, un autre, velu, très viril, a planter son regard sur moi, un regard d'envie...
Et puis j'ai perdu pied...
je me suis fait baiser par au moins trois mecs, leurs pieux au fond de moi, chacun leur tour, avec une espèce de brutalité, de puissance...et la douleur, douleur de sexes épais, de sexe longs, de sexe durs...aucune douceurs, aucune lumière.
Et ma bouche toujours pleine, une bite après l'autre, des saveurs différentes, des odeurs enivrantes, des cris différents...des respirations haletantes, une tension dans l'air. Je pouvais voir des visages dans l'entrebâillement de la porte, certains envieux...Je n'était qu'un bout de chair dédié uniquement à leurs plaisirs....
Et de temps en temps mon visage inondé d'une trainé de foutre, mon torse poisseux de sperme...l'un après l'autre ils m'ont offert leurs jute blanche comme un cadeau. J'ai même eu le droit à un "merci" juste après un baiser assez fougueux, nos langues emmêles, nos salives partagées.
Mon cul me faisait mal, ma bouche me faisait mal, mon cœur me faisait mal.
J'ai repris ma serviette, je me suis dirigé vers la douche un peu sonné, un peu honteux aussi de me voir ainsi suant, maculé de jus d'hommes. L'eau a glissé sur moi, emportant ce moment...
En dans les vestiaires, enfilant mes vêtements, j'ai reconnu mes "amants"...sans un regard, sans un sourires, ils sont partis vers leurs vies....
Et en partant à mon tour vers la porte...j'ai constaté que je bandais encore.


vendredi 1 mai 2015

Poésie d'une rencontre

J'ai découvert ta peau dans la douceur de ton lit, parcourant tes courbes de ma langue experte.
J'ai glissé ma main entre tes cuisses épaisses, remontant rapidement jusqu'à ton cul, magnifique cul, accueillant...
J'ai écarté tes fesses pour te prendre brutalement, ton trou dilaté par mes baisers salés, par mes baisers mouillés...
J'ai pris ta bite doucement dans ma main, oiseau fragile pour commencer...fière virilité, matraque de chair pour terminer...
J'ai souillé ton visage de ma jute épaisse, belle salope dans un sourire...
J'ai souffert à mon tour quand tu m'a pénétré, tes couilles pleines contre ma peau...je suis salope dans mon sourire.
J'ai aimer te voir nu après nos ébats...ta petite bite au repos, le nœud encore brillant de ta sève d'homme
...c'était tellement bon

dimanche 22 mars 2015

XL



J'ai toujours aimé les sexes lourds et épais...
Petit régal du dimanche soir

samedi 21 mars 2015

La main dans le sac




...Apaisé, j'aime ma caresser simplement, glissant ma main dans mon caleçon ou ma queue commence très légèrement à durcir...Cette demi molle qui ne le reste pas longtemps. Je soulève mon tee-shirt, et je crache ma semence sur les poils de mon pubis...


doux et ferme

Samedi matin, il pleut, le ciel est bas, très bas. Triste luminosité sur la ville.
Comme une envie de douceur pour commencer, de mains douces qui me parcours lentement, de chauds baisers dans mon cou, de regards légèrement fiévreux, de lit accueillant, d'une douce torpeur de week-end pluvieux...
et aussi comme une envie d'un peu plus de chaleur, de vêtements à terre, de musique un peu forte, de main intrusive dans ma virilité grandissante...de sentir ton bel engin dans le creux de ma main, dans le creux de ma gorge, dans le creux de mon dos...
Tu vois, il pleut mais ici, entre nous c'est plein soleil. Laissons le lit de côté, restons la sur le sol du salon, nos corps en sueurs, le goût de ta queue sur moi.
Restons nus, restons soudés, toi en moi, et moi criant ton nom dans ma jouissance soudaine...

dimanche 25 janvier 2015

Exhibition

Glisse toi en moi, l'inconnu, parcours mes veines, mes défauts de ta langue de salope. Tu connais même pas mon prénom, mais peu m'importe. Je ne veux que jouir violemment dans ta bouche, dans ton cul, sur ton visage. Quelques mots échangés, quelques pics hot et te voila chez moi, un peu trop serré dans ton jean. Tu a certainement menti sur ton âge, tu a un peu de ventre, quelques kilos en trop certainement...mais qu'importe.
Passé ce moment de "mal à l'aise", parlant de pluie et du beau temps, il a suffit doucement que j'oriente la conversation vers le sexe, vers le pourquoi de ta visite dans mon antre.
Je me suis caressé en t'écoutant me parler de ton travail, sagement assis dans mon canapé . Ce fut le signal de départ de ce moment intense. Tu es devenu silencieux, observant ma main suivre le contour de ma queue a travers la toile de mon jean.
Mon regard dans le tien, j'ai dégrafé ma braguette, libérant ma bite déjà raide
Voila, tu te lève, tu soulève ton tee-shirt, tu viens vers moi...je la vois cette fièvre dans tes yeux
C'est parti...



vendredi 9 janvier 2015

Divagation


Mes doigts collants contre ton corps, je sens le foutre et le désir. Je transpire de tes ardeurs noyé dans le sexe de ses hommes anonymes réunis dans un même élan. J'attrape une queue, puis une deuxième, je laisse des mains expertes parcourir mes vallons, mes creux, mes bosses.
Je touche de mes lèvres des cotons humides, gonflés de promesses, de douleurs...je découvre des formes agréables, vivantes.
Je me laisse glisser sur cette pente sans retour, j'écarte, je propose. Je ne suis que ça, un grand moment de chaude tension, un grand moment de luxure.
Je me dépossède de ma carcasse de fringues, teeshirt, pantalon, chaussure, chaussettes...Je ne vois que le piquet qui déforme mon boxer, surmontés de cette unique goutte de désir qui s'élargit...je bande pour eux, je bande pour lui, pour toi, et toi...
Un de plus qui me prend dans sa bouche, me corps en apesanteur n'est qu'une trainée de magma en fusion. Je veux jouir, je veux éjaculer vers le ciel, je veux cracher ma semence dans les étoiles...
Mon trou se dilate sous la pression d'un nœud qui deviendra coulant, des cuisses, des ventres, des bras...toute cette peau rien que pour moi. je lèche, je suce, je gobe...