Bien sur de mon côté, cette amitié est faussée par le fait que je suis terriblement attiré par toi. Tu le sais, j'ai été franc avec toi il y a un an, et tu reste quand même a mes cotés, m'offrant la plus belle preuve d'amitié.
Mais c'est difficile de rire et de partager des moments de complicité fraternelle en sachant très bien que le soir je me masturberais en pensant à toi, a ton corps d'espagnol, ton torse fin et sec, et cette toison brune et grise qui recouvre ton corps, sur tes jambes de coureur finement musclées, et sur ce que j'imagine sans connaitre...ta queue que j'imagine si bien, certainement de taille moyenne (d'après tes confidences amusées), ta belle forêt de poils qui n'a jamais vu un rasoir (confidence toujours...), ton petit cul si bien moulé dans ton collant de runner l'hiver, lors de nos sorties.
Oui, tu le sais, je te l'ai souvent confié. Tu me plait. Tout comme je sais que jamais "je te sucerai la bite", selon ta phrase habituelle.
Cette acceptation de ma personnalité cachée, de mon attirance, c'est un cadeau formidable.
Mais imagine tu a quel point du me plait ? Tu pense certainement que j'ai juste envie de baiser avec toi...de te montrer comment ça se passe "entre deux mecs".
La vérité c'est que je suis pour la première fois amoureux d'un homme, que j'éprouve un sentiment profond d'amour, une envie sincère d’abandon.
Oui, c'est difficile de parler avec toi chaque jour, d'écouter tes mots, de regarder tes lèvres bouger alors qu'en vérité, dans mon esprit, je retire ton teeshirt pour te caresser, je dézippe ton pantalon pour humer tes odeurs d'homme, et que je n'ai qu'une idée, c'est celle de te faire jouir, te te parcourir d'une traite avec mes mains, glissant un doigt dans ton intimité avant de te pénétrer doucement pour ne pas te faire mal...je m'imagine mes lèvres sur les tiennes, faisant glisser a mon tour mon pantalon pour t'offrir cette érection qui me fait mal depuis longtemps...mal de frustration, de désir inabouti.
Combien de fois ai-je pu jouir seul en pensant à toi, tirant sur mon noeud pour enfin libérer cette pression. J'ai envie de tendresse avec toi et puis quelques fois de brutalité.
Que tu me pilonne sans relâche en criant mon nom...
cela n'arrivera jamais j'en suis conscient. Juste un sourire de connivence quand notre discussion s'oriente vers le sexe. J'ose un regard vers ton entrejambe sans honte, et tu me prend la main dans le sac en riant. J'essaye te te raconter les plaisirs masculins mais c'est une fin de non recevoir. Cela ne t’intéresse pas, ne t'intrigue pas...
Et pourtant je ne cesse d'espérer. Tu connais mon goût pour les barbus et les hommes virils et te voila barbu à ton tour. Est-ce pour me plaire ?
Tu sais que je n'aime pas les hommes qui se rasent et voila que tu arrête te te raser les jambes pour tes courses de trail...
et cette fois ou tu a soulevé ton tee-shirt devant moi pour passer ta main sur ton ventre si plat, si sombre...
et cet autre jour ou ta braguette était ouverte, et malgré le fait que je te l'ai fait remarqué, tu l'a ouverte un peu plus en souriant...m'offrant la vue d'un slip noir...
Oui...tu ne lira jamais ce post mais sache le...je t'aime
Te revoilà enfin :-)
RépondreSupprimerBelle déclaration. On aimerait être à la place de ce garçon.
Et aussi à la tienne.
un mois sans post, c'était long, oui... Mais voilà cette fois c'est encore plus prenant, c'est une déclaration ;) Il ne sait pas quelle chance il a ce mec...
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