Ne t’arrête pas, ne t’arrête surtout pas de jouer comme ça avec ton corps, passe encore ta main contre tes couilles, ouvre moi ton intimité, laisse moi humer cette délicieuse odeur de sexe, de désir. Face à moi tu brille d'envie. Ton caleçon sur tes cuisses, je peux observer ta queue fine et longue, ton ventre plat et tes pectoraux tout juste naissants. Mon sexe est douloureux, encore prisonnier dans mon jeans. Torse nu, je me pince légèrement les seins devant le spectacle.
Tu sais faire monter la pression encore un peu plus, toujours plus....
Ton cul se lève un peu plus pour te permettre un petit doigter plein de douceur, ton index pénétrant lentement ton trou délicat.
Ne tenant plus je déboutonne mon jeans, tu souris devant ma bite épaisse et veineuse. Oui viens vers moi, ouvre ta bouche et passe ta langue sur mon nœud déjà salivant...
Pousse toi un peu, retourne toi, lève tes jambes vers le ciel et laisse ma salive t'humecter. Ce petit cul c'est ton trésor, bien dessiné, bien rebondi.
Je me glisse en toi lentement, sur tes gémissement de douleur, puis de plaisir. Mes couilles tapant contre tes fesses, je suis loin, je suis haut, très haut. En quelques minutes, je sens déjà la libération proche, tu m'excite tellement, ta jeunesse, ta finesse.
Tu veux gouter ma semence alors je me retire, et ton visage tout contre moi, j'explose ma giclée de foutre chaud sur ton visage en sueur. Je joui longuement par fortes décharges, un sperme épais et crémeux inonde ta bouche, ton nez, tes yeux...
Tu m'attrape en bouche, insatiable de tout, tu lèche la moindre parcelle de ma queue...la moindre goutte de jus....
Oui vraiment, j'aime les samedis soir avec toi
ça c'est du tout bon
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