rencontre furtive

D'abord nous sous sommes un peu branchés sur "Grindr", l'application pour des rencontres par géolocalisation. Bon profil, bon physique, un bear d'une quarantaine, en déplacement pour faire des formations sur ma région.
Il m'a proposer de venir sur un site de drague ici, chez moi. Un site que je ne connaissais pas. J'ai pas réfléchi, j'ai pris ma voiture et 10mn plus tard, j'étais la bas.
Petit 1/4h d'attente, le temps pour voir le manège, ses hommes de toutes conditions, de physiques et d'âges différents. Le va et vient dans les fourrés, les regards coupables et en même temps cette fièvre.
Et puis te voila, jeans, teeshirt noir d'un groupe de rock, barbe blanche. Bon feeling immédiat.
Tu m'a demandé de te "faire visiter" l'endroit ! Quelques mètres plus loin, nous nous arrêtons dans un silence, je comprend que tu attend de moi ce que je t'ai promis sur grindr.
J'aime caresser ta bite à travers la toile de ton pantalon. Tu ne bande pas encore mais je vois que cela te plait.
Je tire ma bite de son boxer. Je suis déjà dure, le noeud brillant et fier.
Tu lève mon teeshirt, me travaille les tétons d'une manière douloureuse et tu m'embrasse a plein bouche.
Tu porte un slip un peu désuet, un peu ringard, mais ta queue est belle, épaisse. Une belle toison blanche sur ton torse, un peu de ventre mais des bras solides, musclés.
J'aime cette excitation, j'aime ce genre d'endroits ou les hommes se cachent pour baiser mais qui en même temps se montrent, s’exhibent...C'est totalement paradoxale.
Je suis bien la, mes genoux à terre, ta tige dans ma bouche et mes mains sur ton ventre. Je devine les regards autours de nous.
Ton sexe sent le propre, le gel douche, le savon...
Nous nous aimons d'une drôle de façons, mais nous partageons quelque chose...
Je glisse un doigt vers ton cul, tu te cambre, tu profite et tu aime.
Je me branle devant toi tout en pompant ta sève, ta virilité.
Ta décharge est abondante est belle, de longues giclées de plaisir que je prend sur moi...que je prend en moi. Mon tee shirt est maculé, qu'importe. Je le soulève et à mon tour je crache mon excitation...
C'était ce midi....